Quelques considerations sur l'Histoire et l'Art aux manuscrits de Porto-alegre

Paula Ferrari [1]

FERRARI, Paula. Quelques considerations sur l'Histoire et l'Art aux manuscrits de Porto-alegre. 19&20, Rio de Janeiro, v. IV, n.1, jan. 2009. Disponible sur: <http://www.dezenovevinte.net/criticas/mapa_pf_fr.htm>. [Português]

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Dans les divers branches de la connaissance humaine, les arts et les sciences sont de tel façon liés qu'il n'est pas possible de les séparer complètement.[2]

Francisco Cordeiro da Silva Torres O Auxiliador da Indústria Nacional, ano III, v.9, p.265-6, 1835

                     1.            L'écrite de l'histoire, et dans ces cas-là de l'histoire de l'art, peut être considérée une autorité institutionnelle, accompli l'observation du temps, de l'espace et du sujet qui produit le discours historique. Les changements des traits pittoresques et de la composition visuelle, les éléments comme originalité/imitation, contemplation de la beauté/fonctionnalité, artisan ouvrier/artisan, aussi bien que le déplacement des objets utilitaires fabriqués par l'homme jusque l'endroit dit noble, comme les galeries et les musées, ne sont pas consensuels et ont besoin d'une analyse de l'univers culturel où ces construction ont été faites.

                     2.            À l'ambiance du mouvement romantique l'art gagne une importante fonction civilisatrice, fonction acquise à cause de sentiments que son expérimentation peut réveiller et développer comme par exemple la civilité, le patriotisme, les habitudes et l'art sera allié à l'idéal de l'histoire comme maître de la vie, en particulier au du Brésil du XIXème siècle. La création des divers institutions académiques au Brésil pendant la première moitié du XIXème siècle, vues à la lumière des ces questions, son significatives à la compréhension de la formation de l'État National brésilien et sa relation avec le domaine culturel et artistique.

                     3.            La monarchie brésilienne selon Líria Moritz Schwarcz, dans As Barbas do Imperador a suivi un parcours originel en mêlant la tradition européenne à l'ambiance singulière de l'ancienne colonie: «Une culture qui a été construite basée sur des emprunts ininterrompus, qui pourtant, a incorporé, a adapté et a donné une nouvelle définition en juxtaposer les éléments extérieurs à un contexte nouveau.»[3] Au cours du XIXème siècle il y a eu un long débat sur comment devait être construit le récent État-Nation brésilien, géographique, historique, culturel et politiquement, et sur quels aspects iraient définir de façon indubitable l'expression de l'identité local et immutable.

                     4.            La recherche sur Manuel de Araújo Porto-alegre (1806-1879)[4] se concentre sur sa production historiographique en cherchant comprendre la relation entre l'art et l'histoire, aussi bien que la possibilité d'un début d'une histoire de l'art brésilienne à cette époque là. Les sources choisis pour réaliser cet étude sont les manuscrits de la collection Porto- alegre du Institut Historique et Géographique Brésilien (IHGB), surtout les brouillons et les textes historiographiques, une grande partie jamais publiée.

                     5.            Nous considérons important tracer la trajectoire intellectuelle de Porto-alegre, observer ses lectures, ses relations personnelles et les endroits où il circulait, accompli dans le coupure chronologique adopté, plus exactement dès son entré dans L'académie Impérial des Beaux-arts (AIBA), en 1826, jusque son départ en Europe pour un travail diplomatique en 1860. La trajectoire sers dans cette recherche comme un paramètre afin de comprendre ses choix et ses préoccupations en devenant soit un paradigme indiciaire de lecture nécessaire au développement de la recherche soit comme paramètre à la critique des manuscrits. Cette méthodologie de travail nous permet apprendre à lire comment certaines questions sont discuté par Porto-alegre. La proposition de chercher la formation de Manuel de Araújo Porto-alegre objective tracer un panorama de ce que est possible et, peut-être le plus essentiel ce qui n'est pas possible extraire de ses manuscrits. Cet article objective comprendre l'influence de l'Académie Impérial de Beaux-arts à la conformation des idées culturelles qui peuvent aporter des clés interpretatives à ses écrits.

                     6.            En plus d'avoir été inspiré par l'Académie Royale Peinture et Sculpture de la France, l'Académie Impériale de Beaux-arts, selon Castro, a eu aussi une grande influence de Winckelmann (1711-1768)[5]. Cet archéologue du XVIIIème siècle, dans ses études sur l'esthétique grecque, affirmait que l'art possédait une double fonction: être agréable et instruire, en inspirant aux spectateurs des sentiments et des comportements civilisés, ces fonctions cherchaient l'élévation d'esprit en direction de la beauté de l'âme. Dans les manuscrits de Porto-alegre nous avons trouvé la même admiration pour l'art grecque et la défense de la haute fonction de l'art à la société, il comprenait aussi l'évolution en périodes pendulaires comme dans l'histoire de l'humanité, composés par une enfance, une maturité et par un déclin.

                     7.            L'art, selon lui, possède deux points de permanence importants: l'universalité que sa langage des formes peut atteindre et la durée de l'idée matérialisée. Le dessin est la base essentiel de cette langage, le peintre le met comme une écriture universel qui vainc la diférence entre le voyagent et les endroit, qui enlève le linceul du temps qui se pose entre l'homme d'aujourd'hui et l'ancien ecclésiastique. Dans ce sences là, l'art devient un registre historique capable de vaincre le prisme du temps.

                     8.                                                  [...] [l’art est un registre historique] qui décompose la tradition et dévoile toutes sortes de troperies […] tous les mémoires monumentalles élévées à la divinité, à l’homme ou aux faites nacionaux, sont conservées et tranportées par cette troisième forme de la pensée, sans aucun comentaire, hypothèse, conjecture ou une aide de quelque système ingénieux qui fait plus briller la sagacité de son inventeur que montrer la verité. [6](PORTO-ALEGRE, 1855)

                     9.            L'oeuvre d'art, en conservant à sa matière plusieurs connaissances, technologiques, esthétiques, culturelles qui sont nécessaires à sa confection, garde un archive qui nous permet comprendre l'univers où elle a été crée comme en thermomètre de cette société. Le génie, l'inspiration de l'artiste, selon Porto-alegre ne sont pas suffisants, c'est aussi nécessaire la connaissance technique et l'érudition[7] afin que soit développé un art supérieur capable de condenser en soit même tout la connaissance accumulée jusqu'à son époque. Cet éducation ne se restringeait que aux artistes, mais se dirigeait à toute la société, à tous ceux qui utilisent cette connaissance pour produire et contrôler la nature brute, à tous ceux qui profitent de cette production; puisque pour aprécier et pour comprendre la profondité de la Beauté c'est aussi nécessaire entraînement et éducation. Winckelmann attribuait la perfection que l'art grecque avait atteint au climat doux et a l'étude de la beauté idéal acquise à partir de l'effort; le climat du Brésil semblait offrir à Porto-alegre les mêmes conditions cependant sans apporté les mêmes résultats, ce que lui faisait chercher d'autres causes[8]: socialles, culturelles, ou même historiques.

                  10.            Dans ce contexte la réforme de l' académie est indispensable à l'histoire de la nation, selon Porto-alegre. Sa production sauverait les hommes déjà morts et ceux du présent de l'oubli et aussi élèverait le futur, dans une prouve matérielle de la civilisation brésilienne.

                  11.                                                  On doit commencer, donc, à considerer le dessin comme un éléments civilisateur, comme un thermomètre social, et comme un soutien sûr pour le développement des œuvres humaines, qui en appartenant au domaine de l’imagination créative à travers les formes. Les esprits vulgaires le considérent en tant qu’une art de luxe, cependant les hommes qui pensent, les inteligences superieurs, le voient en tant une exigence pour la civilisation.[9] (PORTO-ALEGRE, 1855)

                  12.            L'art est toujours traité d'une manière élogieuse, moteur de la civilisation autant dans son aspect matériel que ontologique et le dessin serais la base fondamentale pour accomplir ses objectifs. Alors qu'auparavant il existait déjà une discipline de dessin pour le premier année des divers cours, si l'on analyse les changements effectués à la reforme, on constate que cette discipline a été démembré en Dessin géométrique, pré-requis pour les autres disciplines offertes, divisé en deux partie: la première étais le dessin linéaire et qui étais complémentaire à la mathématique appliquée, et la deuxième se destinait à la application de cet type de dessin à l'industrie teni selon le destin des élèves; le dessin d'ornement; le dessin de figure, qui avait sa duration selon le développement de l'élève; le dessin perspectif et la théorie de l'ombre dont les concours était destinés à tous les élèves trois fois par an en tant que évaluation de l'apprentissage. L'utilisation du dessin visait l'organisation et l'étude des tous les possibilités pour l'élaboration de l'œuvre dans son côté esthétiques et matériels, afin de attester l'utilisation de la raison par l'artiste.

                  13.            Les traits de sa formation académique peuvent être aperçus dans son style d'écrire aussi bien que dans divers d'autres points interets que nous n'allons pas tous traiter dans cet article finir dans cet article. Une de ces points est la question sur la nature. Nous savons que, malgré la nature américaine être définie comme la couleur local, nous avons trouvé un conflit dans ses textes, conséquence de la nécessité d'insérer le Brésil dans l'histoire de l'humanité comme un empire civilisé et d'affirmer ses valeur dirigé par l'orientation de la tradition académique de l'hiérarchie de genre de la peinture.[10]

                  14.            Selon Chiarelli, jusque à la fin de la décennie de 1870, l'Académie Impérial des Beaux-arts de Rio de Janeiro a formé des artistes qui avaient produit des peintures de paysage, cependant ces travaux étaient sporadiques et gardaient les principes structurels du paysagisme académique plus conventionnel, sans constituer une école basée sur des caractéristiques propres ou locales. (CHIARELLI, 2007: 310)

                  15.            Dans l'académie aussi bien que dans l'Institut Historique et Géographique Brésilien, le moyen intellectuel, à la première moitié du XIXème siècle, suit une tradition illuministe. Selon Maria Odila, le trait de continuité le plus significatif des hommes de la science au Brésil, dès la fin du XVIIIème siècle à la génération romantique, a été la survivance d'un penchant pragmatique.

                  16.                                                  [...] que s'est exprimé dans le culte aux sciences et aux connaissances utiles, dedié à la recherche, consciente et pragmatique, des instrument d'une nouvelle nationalité [...] Le même culte chaleureux dedié à la science ils employaient à l'hommage de l'art. « La question était – écrit Antôno Candido – de construire une vie intellectuelle, dans sa totalité, pour le progrès des lumières et la consequente grandeur de la patrie[11] (DIAS, 2005:117).

                  17.            D'après Porto-alegre, l'étude de paysages était une possibilité pour l'exercice de la profession, en tant que art, néanmoins le genre était considéré, dans les conceptions anciennes académies européennes de l' Ancien Régime, un genre mineur. Les débats avec August Müller, que ministrait la discipline «Paysage, fleurs et animaux», servent comme point central afin de comprendre les démembrement des questions sur la nature.

                  18.            Porto-alegre place le paysagiste comme un integrant necessaire des expedition scientifiques. Cet atuation n'était pas méconnu de Porto-alegre, disciple préféré de Debret, auteur du «Voyage Pittoresque et Historique au Brésil» dont le texte est richement illustré avec des registres d'aquarelles; aussi sa connaissance en archéologie, que lui a amené à faire un cours à Rome avec Antonio Nibby, il utilisait cette registre afin de composer des catalogues et des études comparés.

                  19.            Comme nous avons vu, par le dessin, l'artiste peut enregistrer tous les informations necessaires pour son étude au bureau fait après les expeditions, aussi bien que la divulgation de la connaissance acquise,

                  20.                                                  Le dessin remplace le cadavre au anatomiste, les collections zoologiste, les fleurs au botaniste, les voyages au géographe, les modèles à l'ingénieur, et au artiste, et comme un puissant auxiliaire de la parole, qui produit ce voile  indicible que j'ai éprouvé quand l'immortel Cuvier racontait l'épopée de la création et avec la craie sur l'ardoise réssuscitait l'image de ces êtres perdus, de ce monde étouffé par le déluge, et pétrifier par les ténèbres.[12] (PORTO-ALEGRE, 1855)

                  21.            La question sur un possible champ d'actuation en plus pour les artistes, dans un pays où seulement l'empereur achetaient œuvres d'arts, dans le rapport[13], sur les cours de Müller c'est evident. Le directeur sugerait que le professeur de paysage ai eu des notions des sciences auxiliaires comme la botanique, la geologie et la metereologie «parce que Lineu, Cuvier, Tournefort, Flourens, nous ont enseigné à peintre, aussi bien que les anatomistes, les mathématiciens, poètes, philosophes, phisiciens et phisiologistes»[14] (SQUEFF, 2004: 212-213), suit encore dans le texte l'insertion de la de la téchinique de l'aquarelle dont les teintures étaient délayées à l'eau, plus convenable aux conditions que l'artiste irait trouver dans les expeditions, en plus l'aquarelle se revelait très resistente à l'action du temps ce qui apportait des bénéfices à la preservatios de l'œuvre

                  22.                                                  [...] qu'est-ce que ferai un de nos élèves en voyage, ou attaché à une expédition scientifique dans l'interieur du pays? Où irait il trouver les chambres que la peinture à huile demande, ou comment pourrait il conserver la fidelité aux couleurs seulement avec le crayon? [15] (CHIARELLI, 2007:226)

                  23.            Porto-alegre defendait la nécessité des cours pratiques pour les élèves plus avances dans la discipline. L'habitude de la copie des stampes européennes privait l'élève de saisir les exemplairs caracteristiques de la region du paysage travaillé, ce qui était mauvais, selon son point de vu, soit à cause de la question de la téchinique de la manque de familliarité et d' entrainement avec les models pendant les travaux dans les expeditions scientifiques, soit à cause de la manque de veracité à l'execution de la peinture historique.

                  24.            La peinture historique demandait l'ennoblissement et la fixation des moments glorieux de la nation e des actes héroiques des grands hommes; selon la conception de Winckelmann, la peinture historique est devenue l'espace privilegié pour enregistrer dans l'âme des ses observateurs les nobles sentiments d'amour à la patrie, « pour cette raison plusieurs entre les meilleur paysagistes ont pensé que avaient accompli seullement la moitié de ses obrigations par rapport l'art s'ils laissassent ses paysages sans aucune figure humaine.»[16] (CASTRO, 2007: 16).

                  25.            La mise en valeur des moments glorieux de la nation et des les actes héroïques des grands hommes est aussi rencontré au IHGB, dans les éloges historiques, par ailleurs les soucis avec la civilisation il avait aussi les soucis éthnographiques et géographiques, en cherchant conaître le pays en detail. Nous rencontrons chez les autre associés de l'Institut Historique ainsi que dans les manuscrits de Porto-alegre l'opposition entre civilisation et nature. À la première est destinée l'élévée tâche de l'histoire, à la seconde restait seulement l'éthnographie et les autres sciences naturels. Ses notes sur visite au sud du Brésil, en accompagnant le conseilé Pedreira ont été conclus de cette façon:

                  26.                                                  [Le Itajahy] c'est un fleuve de 50 brasses de large à l'entré et 40 jusqu'à la grande chute qui nést que une grande cataracte qui tombe dans un échelonnement sonore d'une hauter de 60 mains. J'ai vu divers fleuve en Europe mais aucun d'entre eux n'était plus beau ou plus pittoresque que ce fleuve; ce que lui manque est l'histoire de l'humanité écrite en pierre et chaux [le souligner c'est à moi], ce sont ces chateaux qui dominent les hauts des montagnes ou ces clochers des églises qui nous trasportent au début du crhistianisme et que à travers son aspect architectonique nous révéle la marche de l'Évangile jusqu'à l'idolâtrie.[17] (PORTo-alegRE, s/d)

                  27.            Porto-alegre n'est pas si pessimiste que son contemporain Varnhagen, dont les textes la nature gagnait l'air nuisible et sauvage . Notre nature est pittoresque, est digne d'être peint, cependant comme nous avons vu précédemment qu'une des fonctions de l'art est de servir comme instrument civilisateur afin de apprivoiser la nature brute. L'art, selon sa conception, s'entremêle en deux moments avec l'histoire, comme l'écrite de l'histoire, en tant que developpement des actions humaines qui restent enregistrées materiellement ou en tant que historia magistra, celle qui organise et selectionne les faits mémorables pour les générations futurs. « Sans l'art il n'y a pas de civilisation, ni l'expression de la béauté, ni les documents du passé[18] (PORTO-ALEGRE, 1855)

                  28.            On aperçoit, pourtant, qu'il y a dans cette relation art- civilization-histoire la même pensée, mais plus modéré, de celle de Varnhagen: pendant l'infance de l'humanité, à la barbarie seullement l'etnographie est possible. Comme la civilization adoptée est l'europeené, on voit l'art suivre la même manière de pensée. En dehors des modèles fixés par l'académie il y a des artisans ouvriers, des artisans, la vocation de l'art, enfance de l'humanité. Tous cela était reconnu par Porto-alegre, en accord directe avec la tradition qui était le soutien de sa formation,  d'une façon pragmatique dans l'évolution de l'Histoire Universelle et classée comme inférieur. Porto-alegre reconnais l'importance de ce genre de main d'œuvre pour la societé, mais n'accepte pas leur tradition et propose que ces professionels étudient aussi dans l'academie, ou suivent des orientation des artistes formés à cet instituition. Seulement ainsi leurs travaux peuvent avoir progrès en ce qu'il s'agit des questions materilles ou esthétiques.

Bibliographie

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Sources

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FERRARI, Paula (org.). Manoel de Araujo Porto-Alegre: Discurso pronunciado na Academia das Belas Artes em 1855, por ocasião do estabelecimento das aulas de matemáticas, estéticas, etc.. 19&20, Rio de Janeiro, v. III, n. 4, out. 2008. Disponible sur: <http://www.dezenovevinte.net/txt_artistas/mapa_1855_discurso.htm>.

Trinta teses para debate, Ata da 2a Sessão Pública da Academia das Belas Artes, em 27 de setembro de 1855 - Presidência do Diretor. (Cfr. link)

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[1] Inscrite au master en Histoire par l'Université Federal de Juiz de Fora avec la recherche: «Porto-alegre et le IHGB: Réflexions sur la constrution de l'histoire de l'art brésilienne.» orientée par professeur Dra. Maraliz de Castro Vieira Christo.  Tradução Suianni Cordeiro Macedo

[2] «Em muitos ramos dos conhecimentos humanos, artes e ciências são de tal modo entrelaçados, que não é possível fazer-se uma separação completa».

[3] « [...] uma cultura que se construiu com base em empréstimos ininterruptos, os quais, no entanto, incorporou, adaptou e redefiniu ao justapor elementos externos a um contexto novo».

[4] Pour réaliser ce project nous avons choisi Manuel de Araújo Porto-alegre parce qu’il représente un érudit avec une formation académique et qui avait la possibilité d’action dans les institutions du savoir et dans les groupes politiques liés au centre du povoir de l’Empire. Il a été peintre, professeur de peinture historique, directeur de l’Académie Impériale des Beaux-arts, écrivain, dramaturge, scénographe, caricaturiste, architecte; il est consideré le premier critique et historien de l’art brésilien. Porto-alegre en tant que associé de l’Institut Histoquique et Géographique Brésilien, a écrit divers textes pour la revue de l’institut dans lesquels il réflexissait sur l’art brésilien. Né à Rio Pardo-RS, en 1806, il voit au long de sa trajectoire biographique les changements politiques et esthétiques de son époque. Il a été disciple de Debret et Montigny à l’Académie Impériale des Beaux-arts, en 1831 il accompagne le retour de Debret à Paris où il connaît Jean Antoine Gros et une grande partie de la génération romantique parisienne. En Italie il étudie avec l’archéologue Antonio Nibby. En France il fonde avec Torres Homem et Gonçalves de Magalhães la revue Nitheroy: Revista brasiliense, sciencias, lettras e artes (1836) symbole du romantisme bresilien puis Porto-alegre fonde et dirige les périodiques Minerva Brasiliense (1843), Lanterna Mágica (1844) et Guanabara (1849). En tant que directeur de l’Académie Impériale des Beaux-arts il a proposé des réformes au curriculum et dans la metodogie de l’enseignement de l’institut, ces actions qui ont fait parties de la Réforme Pedreira en 1855 (cf. Statutes). Le project civilisateur de Manuel de Araújo Porto-alegre, qui envisageait des questions pratiques et estratégiques, a changé toute la comprehénsion du status de l’artiste. Ses idées, qui ont pris forme à la réforme Pedreira, ont divisé pour toujours artisain ouvrier de l’artiste, à travers un enseignement différencié, qui objectivait la formation d'une main-oeuvre  especialisée pour l'industrie et égaliser l'empire à la civilisation européenne. Il a été un homme qui a pris a sa charge les préoccupation avec l'art.(SQUEFF, 2004; FERNANDES, 1999; CHIARELLI, 2007; PINASSI, 1998)

[5] «Les études de Winckelmann ont eu aussi une grande influence à l’enseignement à l’AIBA, il a été cité  plusieurs fois par Taunay dans ces discours, ses œuvres faisaient partie aussi de le recueil bibliografique de l’académie» (CASTRO, 2007: p. 14). «Os estudos de Winckelmann também tiveram grande influência no ensino da AIBA, citado diversas vezes por Taunay em seus discursos, suas obras também faziam parte do acervo bibliográfico da academia.»

[6] «que decompõe a tradição e translus toda sorte de enganos [...] todas as memorias monumentaes levantadas á divindade, ao homem ou aos fastos nacionaes, são conservadas e transportadas por esta terceira forma do pensamento, sem comentarios, hypotheses, conjecturas, ou o socorro de algum systema engenhoso, que mais abrilhanta a sagacidade do seu inventor do que esclarece a verdade.»

[7] L'erudition ici est apliqué dans la signification de l'éducation acquise afin de comprendre les manifestations de la pensée. Le soutien de cet éducation serai constituée, selon Porto-alegre, d'abord par la grammaire, la clé de toutes les langues; suit par la geometrie, la discipline où se rencontrent la logique, la connaissance des numeros et de l'extension, et finalement, le desin qui permet la perfection de la vision à la apreciation des formes et dans la comprension de la beauté.

[8] Quelques questions sont présent dans la proposition de trente thèses pour le débat, rapport de la 2è  session publique de l'Académie des Beaux Arts, le 27 septembre 1855 - Presidence du directeur. (Cfr. link)

14e - Dans les différentes architectures connues seront ses carácter especiaux dués à la qualité des matières employées, aux croyences religieuses dont elles sont le symbole ou à l'organisation socialle des peuples qui les ont crée? [14.º - Nas diferentes arquiteturas conhecidas, será devido o seu caráter especial à qualidade dos materiais empregados, às crenças religiosas que elas simbolizam ou à organização social dos povos que as criaram?]

17e - Les différentes écoles de peinture ont son origine dans la nature du pays où elles fleurissent, ou plutôt dans les doctrines especialles des maîtres? Nous devons les considerer par ses caracter techiniques ou morals? Est-elle bonne l'actuel classification des écoles ou nous devons adopter une autre plus claire et moins confuse dans son ordre et filiation? [17.° - As diferentes escolas de pintura procedem mais da natureza do país onde florescem, ou das doutrinas especiais de seus mestres? Deverão ser elas consideradas pelos caracteres técnicos ou pelos morais? Será boa a atual classificação das escolas, ou convém adotar outra mais explícita, e menos confusa na sua ordem e filiação?]

20e - Qui est le plus grand responsable pour le retard de l'architecture, les lois de notre pays et l''education des notre chefs d'État, ou la manque de goût aux particuliers? [20.° - O que tem mais concorrido para o atraso da arquitetura, as leis do nosso país, e educação dos nossos homens de Estado, ou a falta do gosto nos particulares?]

[9] «Passemos, pois a considerar o desenho como elemento civilizador, como termômetro social, e como base de seguro desenvolvimento nas obras do homem, que pertencendo ao domínio da imaginação criadora por meio das formas. Os espíritos vulgares o consideram como uma arte de luxo, porém os homens que pensam, as inteligências superiores, o encaram como uma necessidade para a civilização.»

[10] La peinture historique était considerée la categorie artistique la plus importante pour reunir tous les autres genres de la peinture. En ordre décroissant l'hierarchie des genres était établi de cette manière: la peinture historique, la peinture de paysage, le portrait et la peinture de genre.

[11] «que se exprimiu no culto às ciências e aos conhecimentos úteis, dedicando-se à busca, consciente e pragmática, dos instrumentos da nova nacionalidade [...] Punham no culto à ciência o mesmo fervor com que veneravam a arte. “Tratava-se” ­ escreve Antônio Candido­ “de construir uma vida intelectual, em sua totalidade, para o progresso das luzes e conseqüente grandeza da pátria.»

[12] «O desenho suppre o Cadaver ao anatomico, as collecções ao Zoologo, as flores ao botanico, as viagens ao geographo, os modêlos ao engenheiro e ao artista, e como um poderoso auxiliar da palavra, que produz aquelle meanto indisivel que experimentei quando o immortal Cuvier narrava a epopéia da creação, e com o giz na ardosia ressuscitava a imagem d’esses seres perdidos, d’esse mundo abafado pelo diluvio, e petrificado pelas trevas.»

[13] Porto-alegre et August Müller ont maintenu un profond débat et désaccord sur l'enseignement et le contenu de la discipline de Paysage, comme nous montre le rapport de Porto-alegre, “quelques reflexition qui je submet à la consideration de M Müller, professeur du cour de Paysage”, “Algumas reflexões que submeto à consideração do Sr. Müller, professor da aula de paisagem”, apud Alfredo Galvão, “Manuel de Araújo Porto-alegre: sua influência na Academia Imperial de Belas Artes e no meio artístico do Rio de Janeiro”; et aussi “Ata da sessão ordinária em 17 de novembro de 1855”, cf. Livro de atas das sessões de ordinárias da Academia Imperial de Belas Artes, 1841-1856. (SQUEFF, 2004: 238), (CHIARELLI, 2007: 310).

[14] «porque Lineu, Cuvier, Tournefort, Flourens, nos ensinaram a pintar, assim como os anatomistas, matemáticos, poetas, filósofos, físicos e fisiologistas»

[15] «O que faria um de nossos alunos viajando, ou adido a uma expedição científica no interior de país? Onde ele iria buscar os comôdos que pede a pintura a óleo, ou como poderia ele conservar a fidelidade do colorido com o lápis somente?[...]»

[16] «Por essa razão, acharam muitos dentre os maiores paisagistas que se desincumbiriam apenas de metade das suas obrigações para com a arte, se deixassem as suas paisagens sem nenhuma figura humana.»

[17] «É um rio de 50 braças de largura na entrada e 40 ate o salto grande, que não é mais do que uma grande cataracta, que se dispenha em escaloens de sonoras catadupas da altura de 60 palmos. Vi muitos rios afamados da europa e nenhum d’elles é mais formozo e pictorico do que este; o que lhe falta somente é a historia da humanidade escripta com pedra e cal [grifos meus], quer n’esses castellos que dominam o cimo dos montes, ou n’esses coruchios de igrejas que nos transportam ao começo do christianismo, e que em caracter architectonico nos revelam a marcha do Evangelho atravez da idolatria.»

[18] «Sem arte não há cunho de civilisação, não há expressão do bello, não há documento do passado”».